Et voilà ! Jérôme nous a quitté... non sans mal ! Entre les grèves et les pannes, tout était fait pour que tu ne nous quittes pas ;)

Enfin bon, c'est comme ca. Nous, de notre côté, on a pédalé jusqu'à Oruro et, anecdote, la pompe du réchaud a laché... Le petite pièce en cuir servant de piston est déchiquetée... plus de pompe, plus de pression dans le réservoir ; plus de pression dans le réservoir, plus d'essence qui gicle ; plus d'essence qui gicle... Ben, plus d'essence qui gicle... La merde !

Bon, on sait se débrouiller ; on a viré le piston et on pompe directement à la pompe à vélo. Un petit morceau de chambre à air avec un trou, pour faire joint, et le tour est joué !

Mais comment cela se fait-il ? C'est sensé être du matériel robuste, non ? Eûmes -nous lu la notice que nous eussions, peut-être, pu (visez ce subjonctif impeccable) éviter cela ! En effet, nous avions omis de graisser le premier cuir de pompe et il est parti en lanbeau au bout de 5 mois. Nous l'avions changé mais après observation, il semble que celui que nous utilisions alors a été monté à l'envers. Des pros, quoi !

Bon, nous sommes donc à Oruro et, dans quelques jours nous serons dans le salar de Uyuni. Youpi ! La boussole, la carte sont déjà dans la poche.